Panique Pandémie 01 On Va Tous Mourir !
PANIQUE PANDÉMIE 01
ON VA TOUS MOURIR !
Oui je sais le titre est un peu affolant autant qu'affolé mais, nous vivons des temps difficiles. Comme tout un tas de monde je suis confiné chez moi, comme un peu moins de monde je suis confiné dans une cage de chasteté, je ne sais pas lequel de ces deux faits me fait cet effet mais j'ai le clavier qui me démange et il faut que j'écrive des conneries ( c'est pas nouveau remarquez ) et comme j'ai plein de textes en réserve, ils viendront en leur temps, je propose les tout derniers qui sont hors séries sans attendre.
Bon c'est vrai qu'après l'annonce du confinement ça avait un peu été la panique. L'immeuble tellement vivant me paraissait totalement mort. Les appartements étaient presque tous occupés par des étudiants, il y a en moyenne trois chambres par appartements, la colocation est la règle. Et en un rien de temps ils avaient tous évacué les lieux.
Les rats quittent le navire comme on dit.
Bon, là c'est vrai que je suis un peu vache. C'était pas des rats ou alors des petits rats mignons comme tout. Le petit blond de l'appartement B ( deuxième étage pour ceux qui passeraient par là ) il est pas répugnant, bien au contraire. ( C'est pas la peine de passer voir, de toutes façons il est parti ! ) Une fille superbe, blonde, toute en jambe avec un sourire ravageur et des yeux bleues est venu le cherché. Si c'est sa sur, ça va ; si c'est sa copine, je pleurs !
Ses deux colocataires ils sont bien aussi remarquez mais eux aussi ils sont partis.
Quand je repense à la blonde je suis à moitié colère moi !
Mais c'est vrai quoi, je déteste les filles qui ont les même goût que moi en matière de mecs. Moi j'appelle ça de la concurrence déloyale. Franchement, vous prenez un mec canon, s'il est pas canon c'est pas le peine de me déranger
Pffff
Bon j'en étais ou ?
Ouai, un mec canon ! Vous prenez une jolie fille, du genre blonde, yeux bleus, sourire émail diamant, belle poitrine et toute en jambe ( comme celle qui est venu chercher le petit blond du troisième par exemple ), vous me prenez moi ( qui suis mignon comme tout et de très bonne compagnie )
Sur les starting block toutes les deux pour séduire le mec canon
Prêtes à tout, il vaudrait mieux que la fille soit une vraie garce, une tueuse si elle veut survivre à ce combat, car moi j'en suis une !
Enfin bref, de toutes façons c'est le me qui va décider et au final, et le plus souvent, malgré que je suis mignon, prêt à tout, adorable, que je suce bien et tout et tout
Le plus souvent c'est la fille qu'il va choisir !
C'est pas juste ! On ne part pas avec les mêmes chances dans la vie !
Bon je m'égare du sujet.
Donc si vous avez fait le décompte, il reste cinq étages au dessus du mien. Comme tous les autres appartements de l'immeuble, il est de grande taille mais moi j'ai pas de colocataires
Et en plus personne ne vient plus me voir, on m'oublie, moi qui suis si sociable et si câlin ! Enfin ! Pfff ! Ça va pas durer
J'espère !
Dans les trois étages du dessous, il n'y a plus personne. C'est calme ! Au dessus il n'y a plus personne. C'est vraiment calme ! Je n'entends plus le moindre bruit dans les escalier. C'est vraiment trop calme ! Par moment je me sens tout seul, dernier survivant de la race humaine. Dernier homme sur la terre après une fin du monde imprévue autant quinattendue, quand j'entendais frapper à la porte.
( Oui je sais j'ai un peu plagié mais
j'ai honte ! Note de l'auteur )
En rasant les murs et sans faire de bruit je me glissait dans mon entrée, prenais une batte de base balle discrètement sans me faire remarquer. C'est vrai que j'étais tout seul dans l'appartement mais bon je me faisais un film dans ma tête. Il y avait quelqu'un dans l'immeuble et ce n'était pas moi ! Enfin j'y étais aussi mais vous voyez ce que je veux dire. Je regardais par le juda, mais c'est que je connaissais cette tête, c'était un voisin d'un des étages plus haut.
Je cachais la batte dans mon dos et j'ouvrais la porte. C'était bien un voisin, il était resté, j'étais pas seul, il y avait un autre survivant
Et en plus il était pas mal foutu ! J'ouvrais la porte, il me saluait puis prenait un air inquiet il s'éloignait en regardant par dessus ma tête
Lui : Salut ! Mais tu pourrais ranger le truc que tu as dans ton dos là, tu me fais peur !
Je jetais la batte de base ball dans un coin.
Moi : Excuse mais, tu m'as fait peur toi aussi, je croyais qu'il n'y avait plus personne dans l'immeuble
Étienne : Salut, moi c'est Étienne j'habite au sixième, et moi aussi je me croyais seul dans l'immeuble.
Moi : Ça fout la trouille, on a l'impression que c'est la fin du monde
Je te paye une bière ?
Étienne : Tu n'est pas contagieux au moins !
Moi : Si je te morts tu deviens un mort vivant toi aussi !
Il rigolait.
Étienne : Si c'est avec de telles idées que tu as ouvert la porte, je comprends mieux pourquoi tu avait une batte de base balle dans ton dos. Tu sais que l'immeuble est sécurisé, l'entrée est blindée ?
Moi : C'est vrai !
Il s'était installé sur le canapé et je lui tendais une bière bien fraîche.
Rapidement on faisait connaissance. Il avait un boulot étudiant et c'est pour ça qu'il était resté. Personne n'avait imaginé comment ça se passerait cette affaire de confinement et finalement son boulot était fermé, il était en chômage technique et se retrouvait tout comme moi bloqué dans un immeuble vide, abandonné, délaissé, oublié par les derniers survivants de cette fin du monde précoce
Bon voilà que ça me reprend !
Mes délires le faisaient rire. Suivait une deuxième bière. L'ambiance se réchauffait. On rigolait, on se racontait ce qu'on faisait. Moi je travaille à domicile, lui il faisait des études comme presque tous les locataires de l'immeuble. Il a un petit boulot pour améliorer l'ordinaire mais pour le moment tout est fermé, donc
Étienne : Et tu vis seul alors ?
Moi : Bein oui, de toutes façons il n'y a plus personne !
Étienne : Tu n'as pas une copine ?
Moi : Heu si, mais, heu, un peu en froid !
Deux nouvelles bières sortaient du réfrigérateur ( pas toutes seules je vous rassure, je me faisais un délire Zombies pas un délire fantôme ). J'étais un peu euphorique et ce n'était pas seulement la présence d'une autre personne après des années de solitude, dans ce monde mourant ! ( Oui je sais j'en rajoute, on n'en est pas encore là et le confinement ne dure que depuis deux semaines ).
Étienne : Tu est en froid avec ta copine mais, ça va s'arranger, j'en suis sûr !
Moi : De qui tu parles ?
Étienne : De ta copine.
Moi : Ah ! Oui ! Michael !
Étienne : Ta copine s'appelait Michael ?
Moi : Heu ! ...
Mes yeux faisaient un grand tour circulaire dans leurs orbites, avant de reprendre leur position initiale et je me disais dans ma tête : '' Je crois que je viens de dire une connerie là ! ''.
Il était plié de rire, il avait reposé la bouteille de bière de peur d'en renverser partout tant il rigolait. Et là je me disais, toujours dans ma tête, '' C'est bon ça ne semble pas le perturber ! ''.
Moi : Heu ! Et toi aussi tu as une copine ?
Il rigolait encore plus
Étienne : Oui moi aussi, mais je pense que tu le connais déjà, en général on le remarque !
Je relevais la tête, l'air idiot je suppose, on me dit toujours que j'ai l'air idiot quand je fais cette tête.
Moi : Et il s'appelle comment ta copine ?
Étienne : Il s'appelle Jérôme. Tu as du le voir, grand, sourire brillant, yeux vert, allure sportive
Je faisais de grands yeux.
Moi : Blond ?
Étienne : Pas vraiment, brun, très brun
Métis
Moi : Oué ! Je vois qui c'est, il est canon en plus ! Tu parles qu'on le remarque !
J'en veux un pareil !
Il rigolait de bon cur. Suivait une autre bière, puis encore une et je crois que c'est à ce moment là ( ou à peut près ) qu'on s'est un peu laissé aller
Je me suis retrouvé allongé sur le dos sur le canapé et Étienne était allongé sur moi. Je peut vous garantir qu'il n'y a eu aucune violence. Je ne sais plus vraiment lequel des deux a commencé mais ce qui est sûr c'est que l'autre a laissé faire.
Ça faisait des mois, des années peut être même que je n'avais pas connu cette douceur, cette chaleur humaine brûlante mais qui ne fait pas mal
( faites pas gaffe je suis toujours dans le délire Zombie-Fin du monde
).
Ça ne faisait pas si longtemps que ça mais c'est vrai que depuis que j'avais viré Michael. Une vraie chieuse ce Michael quand il s'y met. Donc depuis que j'avais viré Michael deux mois plus tôt je n'avais pas eu beaucoup de partenaire, cinq ou six pas plus
Mais depuis le début de la fin du monde, enfin je voulais dire depuis le confinement, et bien là que dalle, rien, personne.
Je ne vous cacherais pas que j'appréciais ce contact. Je le serrais dans mes bras. Ses lèvres étaient douces, son corps était chaud et ses muscles étaient fermes. L'été approchait et nous n'étions pas en tenue d'hiver. Déjà mes mains se glissaient sous son T-shirt et remontaient le long de son dos.
Une main se glissait sur mon ventre, avec douceur, elle remontait jusqu'à mes téton et les pinçait doucement. Il ouvrait ma chemise, je soulevais sont T-shirt et le lui retirait.
Nos deux corps se caressaient l'un l'autre, j'avais comme l'impression qu'il avait oublié sa copine Jérôme
Il me mordillait les tétons avec douceur, je sentais sa langue qui me chatouillait puis ses dents qui se refermaient. Un frisson me parcourait et je me débattais sans pour autant essayer de me dégager.
Quand je relevais la tête c'était pour l'embrasser sur l'épaule, à la base de son cou, juste sous l'oreille puis sur les lèvres. Je le retournais et c'est moi qui profitait de son corps. Chacun de ses muscles faisait comme un petit coussin à la fois ferme et doux. Je le couvrais de baisers depuis sa gorge jusqu'à son ceinturon, je glissais ma langue contre sa peau puis je le pinçais avec la plus grande douceur avec mes dents.
A son tour il se tortillait entre mes mains, à son tour il gémissait de plaisir, à son tour il n'essayait pas de se dégager
On continuait ce jeux pendant un petit moment.
A chaque fois nos baisers devenaient plus intenses. Le bouton du pantalon sautait, la braguette s'ouvrait et une queue bien dure, bien ferme en sortait. Je la prenais dans ma bouche sans attendre plus longtemps. Il avait l'air surpris, j'avais du être trop rapide. Enfin c'était pas une raison pour arrêter.
Il se relevait et se retrouvait à genoux sur le canapé et moi à genoux sur le tapis juste devant lui. Il prenait ma tête entre ses mains et me tirait vers lui, dans le même mouvement il avançait son bassin et je me prenais sa queue jusqu'au fond de la gorge.
Ça m'avait manqué et j'en profitais. J'avais toujours mon pantalon sur moi, je bandais et je sentais ma queue confinée dedans. Au bout d'un long moment il me relevais et
me retrouvait debout devant moi, il m'ouvrait mon pantalon et le laissait tomber sur le sol.
Je me retrouvais nu à mon tour devant lui. Il me prenait dans ses bras s'accroupissait devant moi et me donnait un petit plaisir. Il faisait ça bien, je regardais avec plaisir ma queue entrer et ressortir de sa bouche, sa langue qui s'attardait longuement sur mon gland puis de nouveau ma bite disparaître dans sa bouche.
Je donnais des coups de bassin, il encaissait sans broncher, au contraire il en redemandait et me tirait les cuisses vers lui.
Quand il se relevait de nouveau c'était pour me donner un gros câlin
Étienne : Retourne toi !
Je me retournais.
Étienne : Penche toi en avant !
Je me penchais en avant, j' m'appuyais sur le fauteuil, il me lubrifiait le cul et sans rien dire m'enfonçait sa queue dans le cul.
J'ai pas gueulé, j'ai pas râlé
Par contre j'ai gémi de plaisir, c'était bon. Il s'enfonçait lentement mais sûrement, d'un mouvement lent, sans aucune saccades. Il s'enfonçait, je sentais chaque centimètre passer, me dilater le cul. Je sentais mon ventre se remplir. Je sentais cette force, cette pression forte contre laquelle je ne résistais pas. Ses mains me tenaient fermement et me tiraient vers lui.
Il y avait bien un peu de douleur mais il y avait surtout un plaisir, un grand plaisir qui m'envahissait et je me laissais envahir. Ça faisait combien de temps qu'on était voisins Étienne et moi ? C'est seulement maintenant qu'on arrivait à se retrouver !
Son ventre s'écrasait sur mes fesses, j'avais le souffle court et je tremblait de plaisir. Il se retirait, toujours aussi lentement. Il ne marquait aucune pause. Quand sa queue ressortait de mon cul, je reprenais enfin mon souffle. Là il semblait marquer une pause, il se lubrifiait la queue, avant de revenir avec un peu plus de force cette fois-ci.
Dans un mouvement plus rapide il s'enfonçait totalement. Son ventre ne s'écrasait plus seulement sur mes fesses mais frappait mes fesses avec une certaine force. Là je râlais, là je ne m'y attendais pas. Mais c'était bon, tellement bon.
Il ressortait toujours un peu plus rapidement mais là ne retirait pas sa queue de mon cul, au contraire il revenait à la charge encore un peu plus vite, encore un peu plus fort, encore un peu plus violent. Là son ventre claquait quand il s'écrasait sur mes fesses avec maintenant une certaine violence. Je gueulais !
Il passait un bras autour de mon cou et me tirait vers lui, me relevait et me serrait contre lui. Il était debout dans mon dos, j'étais debout contre lui, dans ses bras. Les mouvements de son bassin étaient maintenant rapides et violents. Ça devenait presque douloureux mais c'était toujours tellement bon. Je râlais, je gémissais de plaisir. Il ne se calmait pas.
Là il me burinait le cul et j'étais dans une position peu confortable. Il me faisait mal mais il me donnait aussi du plaisir en même temps et je ne voulais pas lâcher. Quelques mouvement particulièrement violent qui m'arrachaient quelques cris et je sentais son corps se détendre, son souffle devenait plus lent mais toujours très fort.
On ne bougeait plus, je tremblais tout de même de plaisir. Il débandait lentement, sa bite était encore bien grosse, simplement moins ferme, quand il se retirait totalement
Et c'est là que j'ai juté, longuement, juté, seulement juté. Je n'ai pas éjaculé, le sperme coulent longuement de ma queue qui elle aussi reprenait une taille plus modeste. Il m'avait fait jouir un peu avant, là il me faisait juter
J'avais moi le souffle qui revenait à un rythme plus normal mais restait toujours très fort.
On ne bougeait plus, on se retrouvait l'un contre l'autre allongé sur le tapis. Aucun de nous deux ne voulait plus lâcher l'autre.
Nous étions les derniers survivants sur cette planète ravagée, dans ce monde post apocalyptique qui ne nous donnais plus aucun espoir
Oui
je sais
mais
bon
moi ça n'allait pas mieux dans ma tête ! On vas tous mourir je vous dis !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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